Une œuvre de Nicolas Chédeville
Comment se poser des questions sur l’interprétation
L’ouvrage, dont nous allons parler essentiellement, a été trouvé à la bibliothèque municipale d’Arles par Françoise Bois Poteur en 1986 lorsque celle-ci cherchait un corpus musical pour instruments à bourdon datant de l’Ancien Régime, avec l’intention d’enregistrer un disque – ce qui fut fait en 1987.
Cela faisait déjà dix ans qu’elle étudiait la vielle à roue et l’interprétation des musiques anciennes. En effet, elle se trouvait à Châteauroux lorsque, en 1977, l’élu à la culture avait désiré ouvrir un conservatoire de musique. Il avait donc fait appel au ministère de la Culture. D’un commun accord, en supplément des instruments de musique habituellement enseignés dans ce genre d’institution, il avait été décidé d’enseigner un instrument devenu « traditionnel » en Berry : la vielle à roue. Le directeur d’alors, Janos Komives (compositeur d’origine hongroise devenu par la suite inspecteur de la musique, sans pour autant délaisser la ville de Châteauroux) avait dans un premier temps écrit quelques mélodies pour cet instrument. Puis pour faire découvrir aux élèves et aux Castelroussins tous les styles de musique que chaque instrument, enseigné dans une école de musique, doit aborder, il avait fait venir un nouveau professeur. Claude Flagel était vielleux et spécialiste du répertoire de musiques populaires de divers pays d’Europe et de l’Ancien Régime. Françoise Bois Poteur, qui avait suivi ses interventions à France Musique dans les émissions de Jacques Merlet, fut ravie de suivre ces cours, d’autant que sa formation initiale en musique touchait particulièrement les musiques du Moyen Age, de la Renaissance et de la période baroque.
Un premier cursus très approfondi pour cet instrument fut mis en place dans le conservatoire. Il a duré 9 ans pour se terminer, comme c’était le cas pour tous les autres instruments, par l’obtention d’un diplôme de fin d’études et d'une médaille d’or pour les élèves qui avaient souhaité prendre une spécialisation. Françoise Bois Poteur avait choisi « la musique baroque ». Il est à remarquer, que grâce à l’initiative d’un élu à la culture castelroussin, la ville berrichonne a été la première en France à enseigner un instrument patrimonial dans une institution officielle avec une approche écrite du corpus d’un instrument traditionnel. Ajoutons que des rencontres se sont faites au sein de l’école entre élèves et professeurs. Lors des auditions publiques, on a ainsi pu entendre la vielle à roue jouer avec des trompettes, des saxos, une harpe, un piano… et toutes sortes de percussions : des plus classiques (timbales, xylophone, tambours…) aux plus exotiques. C’est ainsi que les Castelroussins ont pu écouter, lors de la deuxième fête de la musique en 1983, un duo de tumbas cubaines accompagner une vielle dans un répertoire métissé pour l’occasion.
Mais revenons à l’ouvrage trouvé à la bibliothèque municipale d’Arles en 1986 par Françoise Bois Poteur.
Après dépouillement systématique de ce recueil nous constatons qu’on n’y trouve que des œuvres publiées dans les années 1730.
Comme le mentionnent souvent les bibliothèques, nous pouvons le nommer « recueil factice » puisqu’il comporte des suites, sonates… qui n’ont rien à voir entre elles, sauf par leur date de parution : les années 1730 et la présence de deux instruments à bourdon sur les différentes pages de titre, pour chaque œuvre.
C’est exclusivement de la musique française, très en vogue dans les salons des nobles et notables dans le Royaume de France mais aussi dans les autres pays d’Europe, en cette première moitié du XVIIIe siècle.
Nous y trouvons dans l’ordre de reliure :
Des suites pour deux musettes sans page de titre et sans auteur.
Des sonates pour la musette, viele de [Philibert] De la Vigne dédiées au Comte d'Ayen Date de publication : 1731
Des suites pour deux vielles de [Charles] Bâton dédicacées à Mademoiselle. Date de publication : [1733].
Des suites pour musettes par Mr Baptiste dédicacées à mon ami Charpentier. Date de publication : 1730.
Les babioles de Monsieur Naudot [Jacques-Christophe] Date de publication : [ ca 1733].
Des divertissements de campagne de Boismortier. Date de publication : 1734 ; ainsi que des sonates du même compositeur. Date de publication : 1738, comme mentionné sur la page de titre.
Les Amusements de Bellone de Nicolas Chédeville dédiés au Prince de Conty dont nous allons détailler le contenu et faire entendre une interprétation. Date de publication : 1736.
Des amusements pour deux musettes sans page de titre mais avec un privilège du roi annexé à ces deux pièces autorisant Nicolas Chédeville en 1735 à publier ces œuvres.
Et pour finir des sonates du signore Antonio Vivaldi portant le titre Il Pastor Fido pour la Musette, Viele, Flûte, Hautbois, Violon : Date de publication 1737.
En ce qui concerne cette dernière œuvre, certaines pages de la dernière sonate (la n° 6) sont en partie déchirées et la dernière page finissant l’allegro de cette sonate, manque. Ce recueil a donc été complété à l’époque contemporaine par deux pages : la dernière page de l’allegro et un privilège du roi donnant son accord d’édition entre autre pour cette 13e œuvre de Vivaldi à un certain J.N.M.M.M. que l’on pourrait interpréter comme [Jean-Noël Marchand, Maître de Musique] d’après les explications que nous a laissées le musicologue Philippe Lescat, suite à la découverte qu’il fit en 1991 d’un acte notarié daté de 1749.
La formation de ce recueil est donc tout à fait unique puisqu’on peut en conclure que malgré le fait que beaucoup d’œuvres se retrouvent de nos jours dans d’autres bibliothèques françaises ou étrangères, ce ne peut être que son propriétaire qui a fait constituer ce recueil avec les œuvres imprimées que l'on pouvait acheter aisément de son temps chez les marchands de musique. Et cela dans l’intention d’interpréter ces mélodies. Celui-ci jouait obligatoirement d'un instrument à bourdon. Vu la sélection de ces œuvres, il est impossible de savoir s’il jouait de la musette ou de la vielle.
La couverture du recueil
Les avis divergent.
Soit elle est d’origine (époque à laquelle ce recueil a été constitué) et il est vraisemblable qu’elle soit alors en cuir, ayant perdu sa couche supérieure en veau lustré pour obtenir une surface lisse et brillante ; cela viendrait-il de l’usure survenue au fil du temps ? Quant à sa couleur verte cela pourrait être dû à la présence de la myrte et du chêne vert qui rentraient dans le traitement du cuir au milieu du XVIIIe siècle, procédé alors employé dans les ganteries de Grasse (en Provence).
Soit elle a été restaurée, le dos aurait été refait entièrement avec un parchemin neuf, teint de la même couleur que les plats.
En deuxième page, nous avons une très intéressante iconographie qui n’est autre qu’un ex-libris de la famille Giraud ; propriétaire de ce recueil.
Il est intéressant de rechercher dans cette famille « de Giraud » dont l’origine est au XVIe siècle d’extraction noble (noblesse provençale), le nom du membre à qui pourrait avoir appartenu ce recueil.
Par leur profil respectif deux frères : Jean et Louis-François de Giraud, des fils d’Étienne de Giraud, pourraient avoir été l’un ou l’autre le musicien amateur ayant fait relier ce recueil.
Nous ne savons pas beaucoup de choses sur Jean, seulement qu’il s’est marié pour la première fois à Cavaillon en 1737 avec Marie-Louise de Mantin de Crochan et en secondes noces en 1755 à Arles avec Marie-Rose de Chiavary. En 1756, est né leur fils Pierre-Joseph de Giraud de Trimond. En 1759, Jean est mentionné comme 1er consul d’Arles. Son frère, Louis-François, a épousé en 1737, (la même année que Jean), Marie de la Tour. Le couple a eu un fils François-Xavier de Giraud qui en 1757 servait sur les vaisseaux du roi au département de Toulon, en qualité de garde de la Marine.
Louis-François était chevalier de l’ordre Royal et militaire de Saint-Louis, et lieutenant au Régiment des Gardes françaises de 1733 à 1748. A-t-il pu se trouver en présence de Nicolas Chédeville ou du prince de Conti, puisque son régiment a combattu sur le Rhin à cette période? Même si cette question restera probablement sans réponse, cela pourrait être un indice permettant de lui attribuer la propriété du manuscrit plutôt qu'à son frère, mais ce n'est qu'une hypothèse que rien ne peut vraiment étayer.
Nous arrivons maintenant à l’une des œuvres de ce recueil : Divertissement des Amusements de Bellone œuvre écrite par Nicolas Chédeville hautbois de la chambre du Roi, enseignant la musette et le hautbois à la cour et à la noblesse parisienne. Parmi ses élèves toujours très illustres, on trouve le prince de Conti. La page de titre du divertissement des Amusements de Bellone ressemble à toutes les autres pages de titres des partitions du XVIIIe siècle. Un décor très orné d’angelots développant une grande tenture sur laquelle le titre est mentionné, comme cela se faisait couramment.
Mais l’illustration de la page a été plus personnalisée pour mieux renseigner le lecteur sur le thème pour lequel son auteur, Nicolas Chédeville, a écrit ces amusements. Des angelots ont donc été représentés au milieu d’instruments de musique : une musette, un tambour, un violoncelle mais aussi des instruments de guerre tels qu’un canon et des cavaliers.
L’auteur de la musique Nicolas Chédeville dédicace son œuvre au Prince de Conti. Dans l’exemplaire de cette œuvre qui est conservé à la Bibliothèque Nationale de France, nous pouvons lire cette dédicace :
À son altesse sérénissime Monseigneur le Prince de Conty
Ce recueil de pièces est le fruit de la Campagne que j’ai faite à la suite de votre Altesse Sérénissime. L’intention que j’ai eue d’y exprimer les images guerrières dont j’ai été frappé pourra justifier la liberté que je prends de lui présenter un ouvrage de cette nature. C’est d’ailleurs le seul moyen de m’acquitter envers votre Altesse Sérénissime de ce que je dois aux bontés dont elle m’honore. D’autres prendront le soin de célébrer des vertus qui font revivre en vous Monseigneur les héros de votre Auguste Maison. Borné à mon faible talent je m’estimerais trop heureux si Votre Altesse Sérénissime veut bien agréer ce témoignage public de mon zèle, de ma reconnaissance et du très profond respect avec lequel je suis Monseigneur…
Signé le très humble et très obéissant serviteur CHEDEVILLE le cadet.
En 1986, Françoise Bois Poteur travaillait à partir du recueil conservé à la bibliothèque d’Arles, or, celui qui a constitué ce recueil n’avait pas vu l’intérêt d’adjoindre à ce divertissement sa dédicace, mentionnant les campagnes que Chédeville avait faites auprès du Prince de Conti. Elle s’était donc posé la question sur le choix des titres d’une grande partie des mouvements, titres à consonance germanique. Comme nous l’avons dit précédemment, elle était installée alors à Châteauroux et elle avait l’habitude, d’éplucher de nombreux ouvrages dans le fonds ancien de la bibliothèque municipale, comme elle avait appris à le faire pendant ses études universitaires en histoire. Quelle a été sa joie d’y trouver un ouvrage intitulé Théâtre de la guerre en Allemagne contenant toutes les opérations militaires des campagnes de 1733, 1734 et 1735 et dans lequel étaient dessinés des plans de batailles relatant les différentes campagnes de la guerre en Palatinat.
Mais quelle était la cause de cette guerre du Palatinat et quel rôle le Prince de Conti y a-t-il joué ?
À la suite du décès du roi de Pologne Auguste II, une guerre pour sa succession éclate car Stanislas Leckzinski, beau-père de Louis XV, souhaite remonter sur le trône de Pologne. La Russie et l’Autriche s’opposent à ce projet mais la France, elle, soutient Stanislas Leckzinski, puisque celui-ci est le beau-père du roi Louis XV. Ce conflit concerne plusieurs pays. L’Angleterre et les Pays-Bas restés neutres, Louis XV se rapproche de l’Espagne, et la Sardaigne vient se joindre à eux. La France mâte l’Autriche et aide les Sardes en Lombardie. L’Espagne de son côté doit conquérir les Deux-Siciles. La guerre contre l’Empereur Charles VI est déclarée le 10 octobre 1733. Le régiment des gardes françaises, lui, est envoyé sur le Rhin en 1734 et la guerre finit en 1735.
Pour en savoir plus sur ce Prince de Conti, consultons l’ouvrage de Gaston Capon et Robert-Charles Yve-Plessis publié en 1907 et intitulé Vie privée du prince de Conty, Louis-François de Bourbon racontée d’après les documents des archives, les notes de la police des mœurs et les mémoires de ses contemporains.
Il s’agit du petit-fils du « grand Conty » qui avait été roi de Pologne entre 1664 et 1709. Marié avec Louise-Diane d’Orléans, fille du Duc d’Orléans, il est envoyé sur ordre de son beau-père, lui-même soutenu par le cardinal Fleury, sur le Rhin pour suivre le maréchal Berwick. À la fin de la première année de guerre (1733), prenant comme tous les soldats ses quartiers d’hiver, il rentre à Paris, devient père et repart en 1734 se battre contre le Prince Eugène. En 1735, la guerre s’est bornée à déplacer l’armée d’un camp à un autre : du camp de Weinholsheim à celui de Bermersheim.
Mais aussi du camp d’Eppenheim à celui d’Oggersheim
À cette époque, pendant les guerres, les princes prenant leur quartier d’hiver rentraient chez eux et reprenaient leur vie mondaine et culturelle. Les arts et notamment la musique étaient alors soutenus par des mécènes comme le prince de Conti ou le duc de Gramont, par exemple, qui entretenaient des orchestres. La vie artistique développée sous le règne de Louis XIV à la cour de Versailles continuait dans la capitale mais aussi dans toutes les grandes villes qui faisaient construire des salles permanentes de spectacles pour donner des pièces de théâtre, des concerts durant lesquels, professionnels et amateurs se donnaient la réplique et exécutaient ensemble une même œuvre musicale devant leurs invités.
C’est en mars 1736 que furent publiés ces amusements écrits par Nicolas Chédeville. Dans sa dédicace on lit que celui-ci écrit ces mélodies en l’honneur de la campagne qu’il a faite à la suite du prince de Conti, et nous explique qu’il a bien l’intention d’exprimer des images guerrières. Le prince de Conti, rentré chez lui décrivait-il à son entourage les batailles auxquelles il avait participé ? ou Nicolas Chédeville avait-il effectivement fait partie des proches dont les princes s’entouraient lors de leurs déplacements ?
Comme bien souvent le titre de l’œuvre est multiple Amusemens de Bellone ou les plaisirs de Mars.
Rappelons que l’éducation que recevaient alors les enfants de bonne famille comprenait l’apprentissage du grec et du latin leur permettant de découvrir les poètes tragiques de l’Antiquité. Au siècle précédent, pour donner les pièces de théâtre mettant en scène des personnages déjà célébrés dans les œuvres de l’Antiquité, comme celles de Racine, Louis XIV avait d’ailleurs fait réaliser des costumes de scène appropriés à chaque rôle que devaient jouer les comédiens, une nouveauté pour l’époque. Puisque ces amusements étaient tous des récits de batailles, il nous paraît logique que la déesse de la guerre, Bellone, et le dieu de la guerre, Mars, soient mentionnés.
Quatre amusements composés de plusieurs suites
1ère suite : Amusement de Bellone
2ème suite : Amusement de Mars
3ème suite : Amusement militaire
4ème suite : Amusement Palatin dont la dernière pièce est intitulée l’amnistie
Mais comment cet ouvrage sur les batailles de la guerre du Palatinat était-il arrivé dans le fonds ancien de la bibliothèque de Châteauroux, chef-lieu du département de l’Indre en Berry ?
On découvre, qu’en 1856, son maire a reçu un courrier d’un notaire de Genève expliquant qu’un certain Jean-Louis Bourdillon, demeurant dans cette ville venait de décéder et qu’étant donné que sa famille était originaire de Châteauroux, celui-ci léguait ses biens à cette ville. Dans le Journal des débats de cette même année, on peut lire que Jean-Louis Bourdillon était un ancien négociant d’Avignon qui s’était installé quelque temps à Paris et qu’il était un bibliophile éclairé et passionné. D’autres sources confirment qu’il était bien connu à ce titre dans le monde des bibliophiles en cette première moitié du XIXe siècle.
Pour vérifier la valeur de ce don, un représentant de la ville partit enquêter sur ce membre d’une famille berrichonne devenu complétement inconnu dans sa région d’origine.
Jean-Louis Bourdillon était né à Genève en 1782. Il appartenait à une famille berrichonne dont certains membres protestants avaient quitté leur pays, au milieu du XVIe siècle, à l’instar de beaucoup de leurs coreligionnaires fuyant les guerres de religion.
Mr. Just Veillat, le conservateur du Musée de Châteauroux, alors en poste, se pencha sur la généalogie de cette famille. Il constata que la branche installée à Genève était constituée de négociants, de marchands horlogers, mais aussi de passionnés de livres littéraires. Il est possible que la collection léguée par Jean-Louis Bourdillon ait été commencée par son père, comme ce fut souvent le cas chez les bibliophiles. Et c’est parmi tous ces livres déjà anciens pour l’époque que l’on trouve donc cet ouvrage intitulé Théâtre de la guerre en Allemagne contenant toutes les opérations militaires des campagnes de 1733, 1734 et 1735 de Georges Louis Le Rouge, géographe et cartographe du roi.
Son auteur le dédicace au comte de Clermont : Louis Bourbon de Condé militaire et religieux (abbé de Saint Germain des Prés en 1737).
Cette découverte dans le fonds ancien de la bibliothèque de Châteauroux a été très importante pour Françoise Bois Poteur, car elle lui a permis de mieux comprendre le contexte de la composition de l’œuvre de Nicolas Chédeville qu’elle a choisie d’enregistrer. Elle l’a interprétée en ayant à l’esprit qu’il s’agissait d’une musique « militaire », ou en tous les cas composée en faisant référence à des champs de bataille, espérant ainsi s’approcher au plus près de la façon dont les instrumentistes du XVIIIe siècle ont pu la jouer.
Cette anecdote met aussi en lumière le fait que la recherche historique et musicale doit beaucoup aux bibliophiles du XIXe siècle. Leurs collections, léguées par eux-mêmes ou par leurs descendants, ont enrichi les bibliothèques municipales ou autres de manuscrits ou d’ouvrages imprimés particulièrement précieux pour les chercheurs.
L’œuvre de Nicolas Chédeville a été enregistrée, pratiquement dans son intégralité en 1986 avec un des premiers matériels de prise de son numérique, alors sur le marché. L'enregistrement a eu lieu dans un temple possédant une grande réverbération naturelle ; réverbération qui pourrait gêner certains d'entre vous.
Françoise Bois Poteur à la vielle baroque était accompagnée au clavecin par Mario Raskin.
Amusement de Bellone - Les plaisirs de Mars
Amusement de Bellone - Le Henry IV
Amusement de Bellone - Le Dolgelsheim
Amusement de Bellone - La Weinolsheim
Amusement de Bellone - Les Houzards
Amusements de Mars - Plaisirs de Bellone
Amusements de Mars -Ilversheim
Amusements de Mars - Niderulm & Oberulm
Amusements de Mars - Bermersheim
Amusements de Mars - La Benheim
Amusements de Mars - La Oggersheim
Amusement militaire - Le retour du Rhin
Amusement militaire - La Turckheim
Amusement militaire - La Saint Wendel
Amusement militaire - La Saint Lambert
Amusement palatin - Le retour de Mars
Amusement palatin - Le Cerf
Amusement palatin - Menuet
Amusement palatin - La Mozelle
Amusement palatin - La quille
Amusement palatin - La Clausen
Amusement palatin - L'amnistie
Nos remerciements aux conservateurs du fonds ancien de la médiathèque d'Arles (Bouches-du-Rhône) et de la médiathèque de Châteauroux (Indre).
Les autres iconographies sont extraites pour la plupart de Gallica - Bibliothèque Nationale de France.
Françoise Bois Poteur Avril 2020